La journée venait à peine de commencé. Le soleil était apparu à l'horizon depuis à peine une heure. Roxanne se réveilla doucement à cause d'un rayon de soleil qui c'était infiltré dans sa chambre. Elle ouvrit les yeux lentement puis regarda l'heure sur son horloge. Il était encore tôt. La jeune fille décida de se lever quand même. Elle prit trente minutes à s'habiller et se peigner puis elle descendit dans la cuisine ou sa mère se trouvait. Roxanne la salua puis prit une tranche de pain qu'il y avait sur la table. Après l'avoir manger lentement, elle alla embrassé sa mère sur la joue puis sorti de la maison. Un sourire illumina son visage. Elle marcha quelques instants dans la rue avant de voir une dame courir dans sa direction. Effectivement, la dame s'arrêta, essoufflée, devant la jeune fille.
- Mademoiselle Roxanne, dit-elle, la voix haletante. J'ai un message de la part de votre ami Kalev. Il est à l'hôpital. Il veut vous voir.
Le sourire de Roxanne c'était effacé en entendant le nom de Kalev. La jeune fille écouta alors le message de la dame avec une attention grandissante. Une fois le message terminé, elle remercia la dame puis se mit à courir vers l'hôpital. Elle évita les gens qu'il y avait dans la rue et les divers obstacles. Elle arriva à l'hôpital très rapidement, sans être essoufflée. L'expression de son visage était sérieuse et d'une froideur qui ne lui était pas habituel. La jeune fille alla voir la dame de l'acceuil pour lui demander le numéro de la chambre de Kalev. Elle s'activa puis se mit à la recherche de la chambre de son jeune ami. Soudain, une infirmière qui sortait d'une chambre attira son attention. Roxanne regarda le numéro de la chambre et vit que c'était celui de Kalev. Elle pénétra alors dans la chambre et y vit son ami dans un lit. Son bras était cassé et il semblait mal en point. Roxanne s'approcha de lui puis s'assit sur le lit à côté. Elle regarda son ami sans n'osé rien dire.
- Roxy, dit Kalev en tournant lentement la tête vers la jeune fille. Tu es venue. J'avais peur que tu ne viennes pas.
- Quel idiot, tu fais, répliqua celle-ci. Tu sais parfaitement que je ne te laisserait pas, surtout pas blesser comme tu es. Alors, que c'est-il passé?
-C'est ce maudit Nomi! Pardon, à voir ton visage, tu es encore ami avec lui. Tu ne devrais pas! C'est une brute! Regarde ce qu'il m'a fait avec son groupe!
- Oh, tais-toi donc. Tu aurais fait exactement la même chose. Je déteste te voir dans un état pareille.
- Tu sais, si tu viendrais dans mon groupe, tu ne me verrais plus jamais comme ça.
-C'est pour ça que tu voulais me voir?
Pendant tout la conversation, Roxanne garda un ton de voix doux et réconfortant. Elle jouait avec une des mèches de cheveux violets de Kalev. Son regard était tout aussi doux que sa voix mais également décourager. Faudrait-elle vraiment qu'elle choisisse un groupe pour que cette guerre arrête? Non, elle ne le voulait pas. Jamais elle ne pourrai choisir entre l'un des ses meilleurs amis. Kalev resta immobile et ne répondit pas à la dernière réplique de son amie. Soudainement, Roxanne eut deux phrases qui lui brulèrent la langue. Ces phrases, elle l'a dit à Kalev avec un ton légèrement nostalgique. Doit-on pleurer autant d'année? Hier ne meurt-il pas? Ces mots, la jeune fille les avait dit pour la première le jour où les parents de son ami étaient morts, pour le réconforté. Roxanne se rendit compte que ces mots étaient tout autant dans leurs contexte en se moment. Ce conflit durait depuis plusieurs années sans qu'aucun des deux de pardon à l'autre la raison qui était inconnu à la jeune fille. Roxanne lâcha alors les cheveux de son ami puis s'éloigna du lit. Elle lui fit son souhait de bon rétablissement avant de partir de la chambre. Elle pu entendre avant de fermer la porte, un léger "Au revoir, Roxy". La jeune fille marcha dans le couloir en direction de la sortie. Elle marcha lentement mais elle arriva plus tôt qu'elle ne l'aurait voulu à la porte de l'hôpital. Roxanne sortit alors du bâtiment puis se rendit au coté. Elle appuya son dos sur le mur puis essaya de refouler des larmes. Combien de temps encore ce conflit allait-il durer?