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| ° Ayako Misoka. | |
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+5Sakura jiraya Sasuke Uchiwa Gaara Ayako Misoka 9 participants | Auteur | Message |
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Ayako Misoka Anbu de Kiri
Nombre de messages : 6 Age : 33 Date d'inscription : 03/09/2008
| Sujet: ° Ayako Misoka. Mer 3 Sep - 21:46 | |
| .: Présentation du joueur :.- Prénom : Kuu'. - Âge : 17 ans. - Sexe : Féminin. - Comment avez-vous connu le forum ? : Top site. (Je ne sais plus lequel... Naruto Vs Sasuke je crois.) .: Présentation du personnage :.- Nom : Misoka. - Prénom : Hoshi mais c'est attribuée le prénom ayako qui à pour diminutif Aya'. - Âge : 20 ans. - Sexe : Féminin. - Village souhaiter : Kiri ou Konoha. - Grade souhaiter : Le maximum.
- Présentation physique : Des traits fins et bien ajusté… Sa peau est pâle et sent la pêche. Ses cheveux sont long et noirs tel le plumage d’un corbeau. Elle les décore de fleurs rouges parfumée et ils tombes délicatement dans son dos et finissent au dessus de son arrière train. Ayako à un visage d’ange dont y est facile de voir ses sentiments : Petit nez, lèvres pulpeuse colorier de peinture rougeâtre, yeux profonds qui sont ressortis par son maquillage voyant d’un ton orangé. Elle a suivit des cours de beautés et les applique même si elle n’a pas le caractère qu’il faut. Oui, elle aime être belle tout de même. Elle ne porte que des Kimonos en soies multicolores, pour la souplesse de ses mouvements.
- Présentation morale : Ayako est pour ainsi dire une jeune femme de charme. Belle et intelligente. Forte et courageuse. Elle veut devenir comme son Père, un héros. Un héros qui a protéger son village et qui est mort. Tout ce qu’elle a apprit, elle le doit à son père mais aussi à son ami, Ryu qui faisait partie de l’équipe d’élite. Ce dernier et mort lui aussi, ce qui blessa intérieurement encore plus la jeune femme qui semble fragile. Hoshi, dit Ayako, n’a plus d’amis. Elle possède encore deux membres de sa famille, sa mère qu’elle déteste et sa sœur qu’elle protège. Après la deux pertes d’êtres chers, l’esprit d’Ayako s’est renfermé, devenue plus dure et plus autoritaire. Une chose aussi à savoir, c'est que Aya’ s'énerve rapidement, trop rapidement, avant qu’on puisse lui expliquer quoi que se soit, la voilà en colère si c’est contre son idée personnelle ! Elle n’aime pas qu'on fasse des remarques sur son comportement, son physique ou autre. Elle veut rester elle-même et ne changera pour rien au monde. Si elle a une idée en tête et qu'elle veut la suivre, elle le fera, rien ne l'en empêchera. Elle peut vexer les personnes car elle dit toujours ce qu'elle pense. C'est peut-être pour cela qu'elle n'a pas vraiment d'amis.
Dernière édition par Ayako Misoka le Mer 3 Sep - 21:51, édité 3 fois | |
| | | Ayako Misoka Anbu de Kiri
Nombre de messages : 6 Age : 33 Date d'inscription : 03/09/2008
| Sujet: Re: ° Ayako Misoka. Mer 3 Sep - 21:47 | |
| °O Chapitre Un : Naissance. Lune interminable, univers opaque, grondement, tornade, séisme ! Rare étaient les moment de repos ; front contre genoux, bras autour de la tête, je pensais, j'écoutais, j'aspirais à ne pas exister car je savais que mon existence allait être méprisée. Mais la vie était là, transparente. J'étais aveugle. 'Qui suis-je ?' demandais-je à la Mort accroupie à mes pieds. Celle-ci grogna et ne répondit point. 'Où suis-je ?' demandais-je, entendant des rires ou des voix qui disaient : ‘Ce sera sûrement un garçon ! Il bouge, il a la rage en lui !!’ Peu lui importait qui je serais. J'étais déjà lasse d’attendre, d’être elle, le centre du monde. J'entendais murmurer que le garçon serait appelé Hiroki. On parlait de vêtements, de couches, de fêtes… On interdisait même de prononcer ce nom de peur que les démons s’emparent de mon âme. Au fond du lac, dans les eaux de couleur sépia, je pivotais, me recroquevillais, me déployais, pirouettais. De jour en jour, mon corps enflait, me pesait, m’étranglait… J'aurais voulu être une pointe d’aiguille, un grain de sable ou encore le reflet du soleil dans une goutte d’eau. Un souffle me soulevait et je me balançais. Je s’indignais contre moi-même, contre la femme qui était ma geôlière, contre la Mort mon unique amie. J'avais pitié de ces êtres fervents, avides et affables. Ils ne savaient pas encore que j'allais détruire leur monde pour reconstruire le mien. Ils ne savaient pas que j'allais apporter la délivrance par les flammes !
Un nuit, je sursautais, les eaux bouillonnaient. Des vagues furieuses s’écrasaient contre moi. Blottie, je luttais contre la peur en me concentrant sur la respiration. Je glissais entre les rochers, mon corps saignait. Ma peau se déchirait… Tout d’un coup, quelqu’un me tira par les pieds et me tapa sur les fesses. La tête en bas, je vomissais mes pleures. On m’enveloppa dans un tissu qui m’écorchait. On entendit par la suite, la voix anxieuse d’un homme… « Garçon, ou… fille ? » Personne ne répondit. L’homme s’empara du bébé et tenta de déchirer son tissu mais on l’en empêcha. « Encore une fille mon seigneur. » « Ah ! s’écria l’homme avant de fondre en larme. Tué là, comme sa sœur aîné… » « B-bien… » « Non ! Cria une femme en larme… » °O Chapitre Deux : Enfance. - Une dizaines de femmes veillaient sur ma croissance. Trois me nourrissaient. L’une poussait mon berceau. Une autre agitait un éventail pour chasser les insectes volants qui s’était introduits dans cet univers parfumé. Mon appétit effrayait Je riais déjà. Mes yeux, grosses perles noires, roulaient dans leurs orbites. Je regardais le monde jour et nuit sans vouloir s’endormir. Mon agitation inquiétait Mère. C’est pour cela qu’elle avait fait appel à des moines exorcistes… Mais personne ne réussissait à expulser le démon qui m’habitait. On m'appela Hoshi : Etoile pour redonner l'Espoir.
A mes trois ans, mon existence donnèrent l’occasion d’une célébration. Mère avait fait ouvrir le pavillon au milieu de l’étang et avait réuni de la familles et des amis pour un banquet somptueux. Dans la salle entourée des eaux scintillantes, je circulais. On me caressait, me flattait. Une dame m’avait offert un bracelet de la couleur d'un rubi. Elle était persuadée que mes yeux noirs exprimaient de l’intelligence. Une autre fit porter neuf lingots d’or sur un plateau d’argent, disant que mon front large présageait un avenir placé sous le signe d’un mariage riche et heureux. Mère était contente. On déroulait un tapis de soie au sol puis on me plaça au centre. Autour de moi, on sema cinq ou six objets. Donc une boite à fard de Beauté, une plume de Poésie, Un l’abaque du Commerce, un livre de Sagesse, un Katana de Combattante. Je devais choisir l’un des cinq objets pour savoir ce que j’allais devenir plus tard. Sous le plus grand malheur de ma famille, j’avais attrapé le Katana.
Ayant peur que je devienne une guerrière comme le présageait mon avenir, Mère commença à me mépriser. Tout au contraire de Père. Il était fier de moi et voulait absolument m'entraîner malgré mon très jeune âge. Quelqu’un était venue pour montrer à Mère qu'elle avait tord de la traiter ainsi. ‘Hé bien ! Il ne faut pas s’en affliger ! A notre époque, les femmes sont capables de mille prouesses. Autrefois, la grande princesse de Yuki a combattu pour son père. Ta fille a le front bombé pour recueillir le souffle céleste, les prunelles lumineuses, la mâchoire ferme, les lèvres généreuse, elle a touché le Katana de son père, formidable ! Ma chère, habille-la en garçon, donne-lui une éducation digne de sa détermination !!’
Le royaume où Père régnait en maître absolu se divisait en deux parties. Le quartier du Devant était réservé aux hommes. Intendants, secrétaires, comptables, cuisiniers, pages, valets, écuyers, gardes, laquais s’affairaient dès l’aube. Militaires et fonctionnaires recevaient des ordres et s’en aillaient à cheval. Des troupes de soldats s’entraînaient toute la journée dans la cours latérale : La guerre faisait rage. Ce monde viril s’arrêtait devant un portail pourpre. Derrière le haut mur couleur neige, vivaient des centaines de femmes, vieilles, jeunes, fillettes… Elles portaient des chignons piqués de fleurs, des anneaux de jade noués à leur ceinture de soie. Elles se levaient à l’aurore et se lavaient au crépuscule. Fleurs du jardin de mon Père, elles s’épanouissaient pour concourir la beauté d’une seule personne. Balayeuses, servantes, tailleuses, brodeuses, porteuses, nourrices, cuisinières, gouvernantes, intendantes, dames d’atours, chanteuses, danseuses, elles s’avançaient lentement et parlaient à voix basses.
Un jour, on appris le décès de Père. Le lendemain, dans l’ancienne chambre de Père, j’assistais à l’Appel de son âme. Le cercueil et les offrandes furent placés derrière un rideau à gaze. Les membres de la famille déchirèrent leurs vêtements et se frappèrent le front contre le sol en poussant des lamentations. Le sorcier dansa jusqu’à qu’une voix puissante s’élève de sa gorge. Face au Nord, où se situe le Royaume des Ténèbres, il agitait une tunique de Père et l’interpellait en chantant :
« Ame, reviens ! Pourquoi as-tu quitté ton corps ? Désolée et esseulée, tu erres aux quatre coins du monde ! Ame, ne va pas à l’Est ! Là-bas, dix soleils ont asséché les mers, incendié les champs. Ils te séduiront par l’éclat de leurs flammes et te brûleront en cendres ! Ame, arrête-toi devant le grand marécage du Sud ! Les serpents vénéneux s’enrouleront dans la boue et leur venin a empoisonné la brume. Ils se changeront en belles femmes nues et vêtues de colliers d’or. Elles t’étoufferont avec leur langue souple et boiront ton sang ! Ame, ne va pas vers l’Ouest ! Les sables du désert dissimulent l’abîme du monde. Les tempêtes soulèvent les cailloux et blanchissent les squelettes. La terre gronde depuis la création de l’Univers. Les vautours aux trois yeux, les ânes sourds et aveugles se livrent une guerre éternelle. Ame, ne franchis pas les glaciers du Nord. Les ours aux neuf têtes gardent la porte céleste. Les flocons de neige couvrent les scorpions de jade qui guettent les âmes errantes. Leur venin pétrifie les vivants et liquéfie les morts ! Ame, reviens à la maison ! Ici, la famille te fait l’offrande. Voici le riz blanc, le riz brun, le millet ! Voici la soupe au bœuf, le pot-au-feu de dinde, le sauté à la chair de tortue. Voici le vin de tous les pays, nectar terrestre, douce ivresse ! Voici le lit tendre, les couches de soie, les coussins moelleux, les belles femmes plus parfumées que les orchidées ! Ame, n’as-tu pas la nostalgie des regards tendres, des bouches charnues, des mains caressantes ? Ame, as-tu oublié les nuits d’amour, les plaisirs de printemps ? Ame, reviens à ton corps ! La fête commence et on attend que tu composes le poème de la célébration ! Ame, te voilà ! Oublie les cris des fantômes, le monde sans ombre où la lune pâle ne se couche jamais. Te voilà qui reprend ton habit… ! »
Le sorcier s’effondra. L’assistant sorcier retira la tunique d’entre ses mains inertes et s’éclipsa derrière le rideau.. L’âme revint du Sud. Après une vie de conquêtes, de batailles et de defences, mon père, qui avait changé mon destin en quittant la terre de ses ancêtres, retourna à la maison natale. Sa fin rejoignait mon commencement…
Dignitaires, fonctionnaires, parents lointains… Ils accoururent des quatre coins de la région. Je me mis à quatre pattes, entre Mère et Frère qui recevaient les présents condoléances. Je n’avais plus de larme, je n’avais plus de voix. Je cachais mon visage derrière mes manches et me tordais tout en poussant des cris. Je n’acceptais cette mort ! Pourquoi Père, ce héros pur comme un être céleste, parfais comme une disque de Jade, nous avait-il quitté ainsi ? Pourquoi son visage rayonnant s’effaçait-il déjà derrière les traits rustres de ses parents ? Leur démarche disgracieuse et leur voix empreinte d’un accent râpeux m’obsédait. Ces hommes avaient ses yeux, ses mains ses oreilles, sa barbe… Ils m’offraient des parcelles de laideur avec lesquelles je recomposais un autre père. Partout, son ombre rodait. Sans le dire à Mère, je m’étais rendue plusieurs fois au cimetière pour pleurer cet être cher, mon père… Dans un bois de bouleaux soigneusement entretenu, son tombeau se dressait aussi grand qu’une maison. Sur l’imposante stèle de pierre, je reconnu l’écriture de Père gravé pour l’éternité. Il contait la tristesse. Mon père, si près de son accomplissement, avait manqué son destin…
Au village, le banquet battait son plein. De maison en maison, portes et fenêtres ouvertes, les invités trinquaient et dévoraient. Le port du grand deuil interdisait aux enfants du défunt le vin, la viande et les plats chauds. Prenant un soupe au riz froide à chaque repas, je devenais aussi légère que les monnaies funéraires que l’on répandait sur les routes. Fuyant les brouhaha, j’errais dans le méandre de passages et de galeries. Un jardin se dévoila. Les boutons-d’or jonchaient le sol. Des poiriers étaient en fleur. Quelques rocailles s’élevaient au milieu d’un étant minuscule.
Un ami de Père, membre de l'élite du village, s'occupa de moi et de mon entraînement superficiel. Superficiel car je n'étais encore que enfant âgée presque d'une dizaine d'année. Il m'aprennait deux trois techniques simples à exécuter et quelques enchaînements avec le Katana de Père. C'est dans ces entraînements que j'appris la mort de mon père. Kage, il avait décidé pour la défence du village de créer un groupe d'élite appelé. Pour lutter contre les envahisseur... C'est pour ça que Père avait créé cet élite, pour mettre fin à tout cela. Malheurement, durant cette 'chasse', il y perdit la vie.
°O Chapitre Trois : Adolescence. Le regard des femmes changea. Je décelais dans leurs prunelles indignation et envie. Je perdis la liberté de courir dans les champs et le droit de porter des pantalons. Mère avait en quelque sorte profité de la mort de mon père pour changer mon destin et devenir... Femme. Confinée dans mon appartement, je subis un traitement qui éclaircit ma peau brunie par le soleil. Mère était affolée. Elle me donnait des leçons de maquillage et d’habillement. Elle me farcissait l’esprit de ses recettes cosmétiques et médicinales. Elle veillait à la préparation de mon trousseau et m’expliquait tant bien que de mal le règlement de la cour. Ses monologues s’interrompaient, larmes et soupirs lui échappaient. Mon voyage au royaume des Divins était sans retour, je renonçais à jamais le monde extérieur. Une délégation de serviteurs impériaux, vêtus de tuniques jaunes et blanches arriva. Leur Chef, un homme sans barbe à la voix de femme, inspecta la maison, expliqua le déroulement de la cérémonie. L’été passa et le rouge de mûres passa au noir dans les feuillages. Le jour de mon départ approchait. Petite Sœur ne me quittait plus. Son silence était le plus accablant des discours. Je ne savais pas comment la consoler, et je ne pouvais rien lui promettre. L’ardent désir de quitter le village m’avait rendu insensible à leur souffrance. Des guerriers arrivèrent et me présentèrent la dot offerte par le gouverneur délégué : rouleaux de brocart, bijoux, livres et éventails. Après le départ, j’errai dans le village. Dans l’interstice des murs, grillons et sauterelles chantaient. J’éprouvais de la pitié pour ces maisons immuables. Les villageois se cachaient dedans... Il n'y avait plus de communauté !
La colère ne domptait point ma haine. Le désir de vengeance contre Mère était d’un fiel vénéneux qu’il s’infiltrait chaque jour d’avantage dans mes organes. Un jour, ma colère éclata : Ryouki, le fils d’un cousin, un adolescent robuste, était le chef d’une bande de jeunes qui rôdaient dans le village No. Mon village natale, mes racines. Quand ils nous voyaient, Petite Sœur et moi, ils mimaient nos voix et ridiculisaient nos manières. Normalement, nous répondions à leur provocations en détournant nos regards. Ce jour là, en tenant Petite Sœur par la main, je traversais une venelle quand les garçons surgirent de derrière les arbres. En chœur, ils criaient : « Vous êtes des souillons ! Vous êtes des bâtardes ! »Le sang se mit à battre dans mes tempes, je m’arrêtais et ricanais : « Mon Grand Père et mon Oncle maternelle ont été de grands ministres au conseil. Ma mère est la cousine d’un empereur. Nous sommes plus nobles et vous, vous êtes des roturiers, des chiens ! » Ryouki répliqua : « La ligne maternelle ne compte pas. Tu es une roturière comme nous depuis que ton père est mort ! Roturière, roturière ! » Je lâchai la main de Petite Sœur et m’élançai vers Ryouki. D’un coup de tête, je le renversai. Jamais un enfant du village n’avait osé offenser leur grand chef réputé pour sa force. Stupéfaite, la bande s’écarta et me laissa rouler avec mon adversaire. Revenu de son premier étourdissement, il commença à me donner des coups de poing. Curieusement, cela ne me fit mal, je hurlais et me battait en me servant de mes ongles. Dans l’herbe, mes doigts effleurèrent une grosse pierre. Je la saisi et l’abattis sur le crane de Ryouki qui perdis connaissance. A la maison, Mère me lava, pensa mes blessures et me gronda pas. Couchée sur le lit je regardais le plafond, silencieuse. Je restais dans mes pensées. Je voulais tellment partir d'ici, à l'aventure. J'étais comme un oiseau dans une cage... Je ne pouvais voler pour m'épanouir. Je me relevai alors et attrapai le Katana de mon père. Je serrai ce dernier dans mes bras et m’endormis avec.
Dernière édition par Ayako Misoka le Mer 3 Sep - 21:59, édité 1 fois | |
| | | Ayako Misoka Anbu de Kiri
Nombre de messages : 6 Age : 33 Date d'inscription : 03/09/2008
| Sujet: Re: ° Ayako Misoka. Mer 3 Sep - 21:52 | |
| °O Chapitre Quatre : Nouvel air. Mère avait décidé d’améliorer mon éducation en m’envoyant dans un centre. Là bas, j’étais censé apprendre de nombreuses choses, mais pas ce que je voulais. Devenir une poupée en soie, alors là jamais ! Pourtant, j’en étais obligée, toute les filles du village l’étaient. Pourquoi y faire une exception ? Des femmes arrivèrent à ma rencontre, me saluant. Je découvris un large sentier pavé de briques dorées au milieu de la forêt. Un parfum exquis emplit mes narines. Le bruissement du monde des hommes avait cessé. Un silence cérémoniel et pur de toute souillure m’encercla. J’entendis battre mon cœur. Les servantes me saluèrent respectueusement. Tenant entre leurs mains des cuvettes d’or, des récipients d’argent, des serviettes tissées de fils d’or, elles me firent laver les mains et visage, puis monter dans une litière. Je traversais la forêt. Au fur et à mesure que j’avançais dans la profondeur de la Terre Sacrée, je distinguais des bruits à peine perceptibles, murmures des feuilles, pincements des instruments à cordes, tintements des sources. Devant un portail en forme de lune, on m’invita à descendre et à pénétrer dans un pavillon. Assise au milieu d’une chambre décorée de fresques, j’attendis, face à la porte ouverte donnant sur une cour calme et des rocailles entourées de lierres inconnus qui portaient des fruits rouges. Déhanchements lents, têtes baissées, quatre jeunes filles longèrent une galerie, montèrent les marches et franchirent le seuil avec savon, serviettes, verres, jarres, récipients… Elles me firent laver les mains de nouveau, rincer ma bouche. Lorsqu’elles disparurent dans un bruissement de soie, quatre autres apparurent. Elles déposèrent à terre des tables basses couvertes de petits plats et dressèrent le couvert. On m’apporta une bassine de bronze, nénuphar géant orné de feuillages en bas-relief. L’eau de bain était mêlée d’huiles odorantes et d’écorces de bois parfumées. Deux servantes me frottèrent, savonnèrent, rincèrent, séchèrent. Leurs gestes étaient précis et expérimentés.
Escortée de nombreuses jeunes femmes en habit masculin, une femme âgée en tunique de lettré, chapeau d’homme, chaussures à pointes carrées recourbée, se présenta. Elle prit mon pouls, inspecta mes cheveux, mes yeux, ma langue, mon haleine. Sa voix haute et sèche dictait deux scribes de couleur, l’odeur, la forme des mes orifices. Elle me fit déshabiller, mesura mains, bras, épaules, seins, hanches, cuisses chevilles, pieds, orteils. ‘Ronde, carré, triangulaire, osseuse… Rose, rouge, blanche…’ Elle me décrivait. Elle me fit coucher sur le dos et me demanda d’écarter mes jambes. J’obéis sans rougir. Elle fit noter la largeur et la longueur de mon organe et introduisit un instrument glacé dans mon ventre. ‘Vierge !’ conclut son inspection…
Vers la fin de la journée, je reçus un jeune homme en tunique jaune. On me demandait de le charmer. Je ne comprenais pas. J’étais ici pour apprendre les bonnes manières comme le faisait les princesses, pourquoi me demandaient-ils cela ?! Seule avec lui dans une pièce, il me demanda de me déshabiller. Aussitôt je compris ses attentions et fuit. Traversant la forêt en pleine nuit, je me dirigeais vers mon village pour y retrouver ma maison. Mère était dans le salon, je me jetai sur elle.
« CE CENTRE N'EST QUE POUR LES SOUBRETTES ! JE N'AI RIEN A FAIRE LA DEDANS ! COMMENT AVEZ-VOUS OSE M'ENVOYER LA-BAS ?! »
J'étais hors de moi. Mère restait silencieuse, siroptant son thé. Je la comprenais pas... Pourquoi changer mon destin ainsi pour finir comme fille de joie ?! Moi qui voulait de l'aventure... Du combat... Du sang ! Je voulais être digne, comme mon père ! | |
| | | Gaara Kazekage de Suna | Jinchuuriki de Ichibi
Nombre de messages : 78 Age : 33 Date d'inscription : 09/08/2008
Fiche ninja P.V: (825/825) P.C: (690/850) Techniques:
| Sujet: Re: ° Ayako Misoka. Mer 3 Sep - 22:51 | |
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| | | Sasuke Uchiwa Fondateur | Chef 1 de Takatsuki | Graphiste
Nombre de messages : 574 Age : 30 Date d'inscription : 13/07/2008
Fiche ninja P.V: (800/800) P.C: (800/800) Techniques:
| Sujet: Re: ° Ayako Misoka. Jeu 4 Sep - 1:22 | |
| Bienvenu sur ND *_*
*_* Wwwouuaaawwwww quelle présentation elle pète complètement c'est trop fort se que tu fait la yeah ! presque un sans fautes Très bien, tu est accepter bien entendu ! Tu aura pour le moment le grade de Jounin ou Anbu mais si tu continue comme ça tu va vite avoir ton grade Jounin spécial/Racin ou même Sannin ! tu ira a Kiri puisque Konoha est fermé. impressionnante présentation.
Alors Jounin ou Anbu ? | |
| | | jiraya Membre de Takatsuki
Nombre de messages : 97 Age : 29 Date d'inscription : 25/07/2008
Fiche ninja P.V: (450/450) P.C: (250/400) Techniques:
| Sujet: Re: ° Ayako Misoka. Jeu 4 Sep - 1:31 | |
| Waw!!!!!!!!! évidament ta présentation est la meilleure du fow 0_o elle est même mieux que cele du fondateure bienvenue a toi et amuse toi bien sur nd. | |
| | | Sakura Jounin de Konoha | Ninja médecin
Nombre de messages : 116 Age : 32 Date d'inscription : 17/07/2008
Fiche ninja P.V: (100/100) P.C: (100/100) Techniques:
| Sujet: Re: ° Ayako Misoka. Jeu 4 Sep - 8:04 | |
| Impressionnant O_O .... Bienvenue | |
| | | Nana Komastu Chunin de Suna
Nombre de messages : 34 Age : 28 Date d'inscription : 01/09/2008
Fiche ninja P.V: (100/100) P.C: (100/100) Techniques:
| Sujet: Re: ° Ayako Misoka. Jeu 4 Sep - 16:06 | |
| O.O Waaw ! trop fort ^^ Aller Bienvenuue et zamuze toii bien ichix ^^ | |
| | | Ayako Misoka Anbu de Kiri
Nombre de messages : 6 Age : 33 Date d'inscription : 03/09/2008
| Sujet: Re: ° Ayako Misoka. Jeu 4 Sep - 21:05 | |
| Ouah. Merci les gens !! J'ai travaillé dur. Mais ça fait un bout de temps que je l'ai ! =)
Ben ANBU bien évidemment Sasuke ! Grade le plus haut hihi. Et Kiri me convient parfaitement ! ^^ | |
| | | Saï Anbu de Konoha
Nombre de messages : 81 Date d'inscription : 15/07/2008
Fiche ninja P.V: (100/100) P.C: (100/100) Techniques:
| Sujet: Re: ° Ayako Misoka. Jeu 4 Sep - 21:06 | |
| Bravo très jolie présentation | |
| | | Sasuke Uchiwa Fondateur | Chef 1 de Takatsuki | Graphiste
Nombre de messages : 574 Age : 30 Date d'inscription : 13/07/2008
Fiche ninja P.V: (800/800) P.C: (800/800) Techniques:
| Sujet: Re: ° Ayako Misoka. Jeu 4 Sep - 21:58 | |
| Ok Ayako va faire un RP a l'entrée de Kiri pour que tu intègre le village | |
| | | ryumo hyuuga Genin de Kiri
Nombre de messages : 44 Age : 27 Date d'inscription : 27/08/2008
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| Sujet: Re: ° Ayako Misoka. Ven 5 Sep - 4:13 | |
| bienvenue au fofo Ayako Misoka très très joli je sais que j'ai rien lu c'est trop fort trop lent très très impressionnant bienvenue et je pari que tu as fais pareil pour l'entrée
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| | | Akasuna no Sasori Admin | Bras droit du Kazekage| Kazekage provisoire | Marionnettiste de Suna
Nombre de messages : 89 Age : 34 Date d'inscription : 09/08/2008
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| Sujet: Re: ° Ayako Misoka. Sam 6 Sep - 9:43 | |
| Bienvenu parmi nous | |
| | | Sasuke Uchiwa Fondateur | Chef 1 de Takatsuki | Graphiste
Nombre de messages : 574 Age : 30 Date d'inscription : 13/07/2008
Fiche ninja P.V: (800/800) P.C: (800/800) Techniques:
| Sujet: Re: ° Ayako Misoka. Lun 8 Sep - 2:47 | |
| Merci a tous bon bah je look | |
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| Sujet: Re: ° Ayako Misoka. | |
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| | | | ° Ayako Misoka. | |
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